Publié le 25 janvier 2022–Mis à jour le 25 janvier 2022
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Article de Rémi Astruc : Représenter la horde primitive - Retour sur le court-métrage de Clément Cogitore, Les Indes galantes
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Article de Rémi Astruc (PR CY, Héritages) : "Représenter la horde primitive -
Retour sur le court-métrage de Clément Cogitore, Les Indes galantes", revue thaêtre, n° 6 " Baroque is burning", 2021
Représenter la horde primitive
Retour sur le court-métrage de Clément Cogitore, Les Indes galantes
Rémi Astruc est professeur de littératures francophones et comparées à CY Cergy Paris Université, chercheur au sein de l’UMR Héritages : Culture/s, Patrimoine/s, Création/s, actuellement en délégation CNRS auprès du laboratoire THALIM (Sorbonne-Nouvelle). Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur le grotesque (notamment Le Renouveau du grotesque, Classiques Garnier, 2010) et sur la communauté (notamment Nous ? L’aspiration à la Communauté et les arts, postface de Jean-Luc Nancy, RKI Press, 2016).
Cet article est issu du dernier chantier de la revue thaêtre, coordonné par Pénélope Dechaufour (Université Paul-Valéry Montpellier 3) et Marine Roussillon (Université d’Artois), qui vient de paraître et est accessible en ligne gratuitement.
Partant de la création, en 2019, de l’opéra-ballet de Jean-Philippe Rameau, Les Indes galantes, à l’Opéra national de Paris par Clément Cogitore (à la mise en scène) et Bintou Dembélé (à la chorégraphie), ce chantier analyse les usages contemporains les plus directement politiques du baroque, tendus entre culture dominante et cultures de la rue, émerveillement et déconstruction, marronnage et domestication…